The Faravahar, Fravahar(Avestan), Farvard (middle Persian), Fravard or Fravahr is one of the best known symbols of the Zoroastrian religion.
The "Fravahar," the winged disc with a man's upper body that is commonly used as a symbol of the Zarathushtrian religion since 19th century, has a long history in the art and culture of the ancient Near and Middle East. Its symbolism and philosophical meaning is an ancient heritage that extends through three millennia to modern times. [1]
What the figure symbolizes is disputed. While it is currently thought to represent a Fravashi (c. an individual's guardian angel), what it represented in the minds of those who adapted it from earlier Mesopotamian and Egyptian reliefs is unclear. Historically, the symbol is influenced by the "winged sun" hieroglyph appearing on Bronze Age royal seals (Luwian SOL SUUS, symbolizing royal power in particular).
Since the symbol primarily appears on royal inscriptions, it is also thought to represent the 'Divine Royal Glory', the Fravashi of the king, or represented the divine mandate that was the foundation of a king's authority.
Although the Faravahar is generally believed to represent a Fravashi, it must be noted that there is no physical description of the Fravarshi in the Avesta. Moreover, in Avestan grammar, the Fravashi are unmistakably female.
In "modern" Zoroastrianism, the Faravahar is used as a reminder of one's purpose in life, which is to live in such a way that the soul progresses towards Frasho-kereti, or union with Ahura Mazda. Although there are a number of interpretations of the individual elements of the symbol, none of them are older than the 20th century.
Prior to the reign of Darius I, pictorial representations of a Faravahar did not have a human form above the wings. In the early depictions with a human form, the face is thought to be that of Darius himself.
L’Iran possède une des civilisations continues
parmi les
plus anciennes du monde. Des vestiges d’occupation humaine
remontant au Paléolithique inférieur y ont
été retrouvés au Balouchistan, dont
certains
— parmi les plus anciens — ont un âge
estimé
à 800 000 ans. Au nord-ouest du pays, dans la
région de
la mer Caspienne, des vestiges datant de 10 000 ans avant J.- C.
attestent de l’apparition d’une économie
de
production de biens au Mésolithique. Des sites
néolithiques attestent que la pratique de
l’agriculture
remonte à 6 et 7000 ans dans la vallée de Gorgan,
à Tureng Tepe, Yarim Tepe, et au centre du pays à
Sialk
II (près de Kashan).
Des objets de cuivre et des céramiques peintes remontant
à l’âge du cuivre (il y a 4000 ans), ont
été retrouvés en Susiane (province du
Khuzestan)
et à Sialk. Des riecherches archéologiques
commencent
à peine à faire connaître des
civilisations
très anciennes comme la civilisation de Jiroft qui
bâtit
des villes il y a 5000 ans, soit bien avant les civilisations
égyptiennes et grecques.
Le début du IIIe millénaire av. J.-C. voit
apparaître une forme d’écriture,
probablement
dérivée du système
sumérien, à Suse.
L’Empire Élamite
(précédé par la
civilisation proto-élamite) établit un nouveau
pouvoir
régional dans le sud-ouest de l’Iran, et
concurrence les
empires voisins de Babylonie et d’Assyrie. C’est au
cours
du second millénaire avant notre ère
qu’arrivent
sur le plateau iranien divers peuples iraniens, provenant
d’Asie
centrale. Au milieu du VIIe siècle av. J.-C., les
Mèdes,
groupes de tribus établis au nord et au nord-ouest du pays,
établissent leur pouvoir sur la région.
À la fin
de ce même siècle, les Mèdes et les
Babyloniens se
libèrent définitivement du joug assyrien en
prenant
Ninive en 612 avant J.C.[6] C’est à la
même
période qu’apparaissent les premières
sources
mentionnant Cyrus Ier, roi d’Anshan, petit-fils
d’Achéménès, fondateur du
premier Empire
Perse, celui des Achéménides[7].
Les ruines des palais des Achéménides,
Persépolis.
Les ruines des palais des Achéménides,
Persépolis.
porte de Persépolis Persépolis.
porte de Persépolis Persépolis.
Article détaillé :
Achéménides.
Despotes éclairés, les
Achéménides
construisent un immense empire s’étendant de
l’Inde
à l’Égypte, organisé en
satrapies
reliées entre elles par un immense réseau
routier. Le
cylindre de Cyrus est la première trace écrite
d’une déclaration des Droits de l’Homme,
datant de
Cyrus II.[8]. La dynastie achéménide
établit des
capitales à Pasargades, Persépolis, Suse et
Ecbatane.
Leur règne est marqué par les Guerres
médiques les
opposant aux Grecs. L’empire perse décline
après le
règne de Xerxès Ier et chute en 330 av. J.-C.,
conquis
par Alexandre le Grand.
Article détaillé :
Séleucides.
Les généraux d’Alexandre
établissent la
dynastie des Séleucides, qui s’effondre
à son tour
en 60 av. J.-C., le dernier reliquat de l’empire, en Syrie
étant transformé en province romaine par
Pompée.
L’empire Parthe (aussi appelé Arsacide),
fondé par
Arsace et Tiridate en 250 av. J.-C., leur succède
jusqu’
en 224, quand le roi Artaban IV est défait par un de ses
vassaux
perses. Une nouvelle dynastie naît : les Sassanides, qui
donnent
naissance au second empire perse (226 - 651).
L’empereur Sassanide Shapur domine l’empereur
romain Valérien. Naqsh-e Rostam.
L’empereur Sassanide Shapur domine l’empereur
romain Valérien. Naqsh-e Rostam.
Article détaillé :
Sassanides.
Les Sassanides furent les premiers à appeler leur empire
Iranshahr ou Eranshahr (en persan : ايرانشهر, Terre des Aryens). Il
s’agit d’une des périodes les plus
importantes de
l’histoire de l’Iran : la civilisation perse
s’accomplit dans de nombreux domaines, et influence
considérablement le monde romain, les deux empires
étant
perpétuellement en guerre[9]. L’influence
culturelle
atteint l’Europe occidentale, l’Afrique, la Chine
et
l’Inde, et continue durant la période
islamique[10],[11].